Lulu et moi avons esquissé quelques petits pas de danse en courant sur les tapis roulants pour rejoindre les postes de l'immigration avant d'être officiellement accueillis sur le territoire de cette Inde tant attendue.
À la sortie de l'aéroport, très étendu, nous étions heureux d'avoir booké le taxi et de voir que nous étions attendus malgré l'heure et demie passée entre l'atterrissage, l'immigration, et la récupération de nos bagages. En sortant du parking, nous avons aperçu dans les rues, les trottoirs dortoirs.
Lune et moi remercions d avoir pu dormir cette nuit encore dans un lit. Je n'ais pas beaucoup dormi écoutant les bruits de la Grande Ville. Cette fois on y es vraiment en Inde.
La vue des immeubles par certains côtés dans cette rue me rappelle un peu certains quartiers de Bruxelles où j'ai vécu ma petite enfance. Je pensais aussi au périphérique parisien où les immeubles surplombent le traffic.
Et donc deuxième méditation (la première c était la danse à l aéroport, Joya) sentir la paix à l'intérieur de Soi, peu importe l'agitation extérieure.
Calmer le mental, qui ,lui dit facilement, j'aime pas le bruit, la ville....
Ce matin, je me sens bien. Prête à regarder le paysage de jour, sortir de Delhi pour aller à Dehradun environ 350 km et juste observer sans jugement. Voilà l'objectif du jour.
Namasté.
À la sortie de l'aéroport, très étendu, nous étions heureux d'avoir booké le taxi et de voir que nous étions attendus malgré l'heure et demie passée entre l'atterrissage, l'immigration, et la récupération de nos bagages. En sortant du parking, nous avons aperçu dans les rues, les trottoirs dortoirs.
Lune et moi remercions d avoir pu dormir cette nuit encore dans un lit. Je n'ais pas beaucoup dormi écoutant les bruits de la Grande Ville. Cette fois on y es vraiment en Inde.
La vue des immeubles par certains côtés dans cette rue me rappelle un peu certains quartiers de Bruxelles où j'ai vécu ma petite enfance. Je pensais aussi au périphérique parisien où les immeubles surplombent le traffic.
Et donc deuxième méditation (la première c était la danse à l aéroport, Joya) sentir la paix à l'intérieur de Soi, peu importe l'agitation extérieure.
Calmer le mental, qui ,lui dit facilement, j'aime pas le bruit, la ville....
Ce matin, je me sens bien. Prête à regarder le paysage de jour, sortir de Delhi pour aller à Dehradun environ 350 km et juste observer sans jugement. Voilà l'objectif du jour.
Namasté.
Bravo vous voici enfin arrivés et en plein coeur de l'Inde la vraie ;))
RépondreSupprimerBonne chance pour le train et à bientôt pour la suite de vos aventures que nous attendons avec impatience !
gros bisous à tous les 4
Karine and Co
Quelle belle entrée en Inde avec la Joya :-)
RépondreSupprimerOn attend avec impatience la suite
Fred a cuisine un riz aux épices Indiennes, ca démenage
On vous embrasse fort. Marie
Je ne suis pas encore arrivée à envoyer un commentaire, ceci est un nouvel essai. Pour dire que c'est vraiment bien d'avoir des nouvelles tout de suite (et tout le temps?) et de plusieurs points de vue. J'attache une grande importance à celui des plus jeunes !!L'arrivée, me semble-t-il, que vous aviez fantasmée a dû vous paraître un peu rude, c'est un arrachement complet et même un peu brutal à tout un passé d'habitudes, vous êtes des poissons qui ont été changés de rivière. Mais je sais que vous serez à la hauteur du défi et que vos aventures vont devenir passionnantes, non seulement pour vous mais pour vos lecteurs !
RépondreSupprimerJe vous embrasse très fort, Christine O.
Merci pour ces nouvelles ! J'adore avoir sur un même événement plusieurs points de vue. Bonne chance pour relever ce très beau défi que vous vous êtes choisi pour devenir "meilleurs" !!
RépondreSupprimerOui Christine, l'arrivée à Delhi, moi qui me gargarise de grand air, de végétation et de paysages idylliques est un grand choc. Les images, photos, reportages, documentaires même s'ils interpellent ne pénètrent pas les yeux, le coeur et l'âme de la même façon. C'est pénible de voir trop de pollution, et de voir des familles dormir au niveau des pots d'échappements. J espère que les lecteurs n'y verront pas un jugement de ma part mais c'est inadmissible de vivre dans la saleté, la misère, le bruit, l'absence de sécurité et de beauté végétale. Et l'Inde n'est heureusement pas seulement ceci mais je suis déchirée que cela soit le lot de beaucoup trop de personnes dans les villes et leurs abords. A Dehradun nous avons conversé avec le manager d'un hôtel qui a vu que nous étions encore dans le jetlag, plus le choc de la ville, c'est lui qui nous as dit de filer à Rishikesh plutôt que de rester à Dehradun avant notre rdv du 5 octobre à l'éco village. C est bon d entrer en relation avec le coeur, il nous a recommandé au logeur de l'appartement que nous louons poyr 7 jours car il a l'habitude lui-même de venir se ressourcer ici, près du Gange.
RépondreSupprimerHello les amis, il ne pouvait y avoir de plus belle entree qu'avec la Joya :-) Gardez le beau, on vous embrasse tres fort
RépondreSupprimerMarie & Cie